Nouveau début d'année [post commun]

Lily était chez elle et avait reveillé son père. Elle le pressa : aujourd'hui, elle allait retourner à Poudlard. Son père la conduisit à la gare de King's Cross et ils se dépechèrent sur le quaie aux milieu des moldus.
Elle regardait le mur qui separait le quaie 9 et 10 en souriant : une nouvelle année allait commencer ... Elle dit en revoir à son père et lui promit de lui envoyer un hibou dés qu'elle le pourrait. Après un dernier signe de la main, elle se retourna et courrut vers le mur. Elle apparut alors sur le quaie 9 3/4 où était, tout fumant, le Poudlard Express. Elle emmena sa valise avec la cage de Yuki et avait Neko-san sur ses épaules. Elle passa dans le couloir à la recherche d'un wagon vide. Elle passa devant des wagons animés et fut salué par des élèves de Poufsouffle :

" - Et salut Lily ! dit un garçon quel avait vu dés sa première année ...
- Euh, bonjour. dit elle d'une petite voix mais en souriant. Bon voyage ... et elle commença à s'en aller mais il sortit du wagon :
- Mais viens dans le wagon ! Tu es une Poufsouffle, une des notre !
- C'est gentil mais je ne veux pas vous ... "

Il prit sa valise et sa chouette de force et les mis dans les places à bagages. Lily ne put refusé et s'installa avec eux. Elle regarda le train quitter la gare et acheta quelques berties crochues. Elle était dans un livre et voyant qu'ils allaient dans environ une heure arrivés, elle alla se changer puis écrit dans on journal.

Bien après, elle arriva à la Gare de Pré-au-Lard ...

Une nouvelle année était sur le point de commencer... À cette pensée, Pégasia sentit son coeur s'alléger. Malgré la correspondance régulière entretenue avec ses deux meilleurs amis, les vacances lui avaient paru longues. Ses amis moldus étant tous partis vers d'autres horizons, ces deux mois s'étaient résumés à des promenades en solitaire - en se mettant à la place de Matthew, qui goûtait le bonheur d'être seul, elle y avait trouvé un certain charme - à des lectures innombrables - rien de tel pour s'évader de l'atmosphère pesante, presque hostile, qui régnait depuis sa première année au collège - et, les rares fois où elle se trouvait en présence du couple Malefoy, à des silences où le malaise et la tension régnaient main dans la main - heureusement, ces instants-là se limitaient aux heures des repas.
À présent, tandis qu'elle marchait d'un pas vif et joyeux en direction de la voie 9 3/4, tirant son bagage à roulette d'une main, tenant de l'autre la cage d'Amber, Pégasia avait l'impression, comme à chaque nouvelle rentrée, que le bonheur qui l'envahissait allait la faire décoller du sol. Elle rit discrètement en évoquant la réaction des Moldus si elle se mettait vraiment à léviter... Heureusement, cela n'arriverait pas. Enfin elle arriva en vue du mur qui dissimulait la voie où l'attendait le Poudlard-Express.
*Pas trop tôt... Je commençais à avoir des crampes dans les bras. Bah... voyons le bon côté des choses, ça ne fait pas de mal de se muscler un peu !*

Elle regarda autour d'elle, puis, constatant avec satisfaction que nul ne lui prêtait attention, elle avança vers le mur aussi vite que ses jambes le lui permettaient. Elle ferma les yeux en dernier moment, les rouvrit en entendant siffler la vapeur, sourit en apercevant, là-bas, une silhouette familière.
"Eh, Dylan !" appela-t-elle gaiement.
L'interpellé se retourna, sourit aussi, ravi de revoir la seule Malefoy qui n'avait pas été affectée à Serpentard, lui adressa un grand signe de la main.
Pegasia se précipita vers lui.
"Alors, Mimi Sourire, tu as passé de bonnes vacances ? demanda-t-il quand elle fut près de lui.
- Oui oui. Merci pour les lettres, au fait ! ça m'a fait très plaisir...
- Tu me l'as déjà dit dans les tiennes..."

Et, continuant à bavarder avec entrain, ils montèrent dans le wagon et se mirent en quête d'un compartiment vide. Ils ne tardèrent pas à le trouver d'ailleurs. Ils placèrent non sans mal leurs bagages dans le filet, leurs animaux sur une banquette, s'assirent sur l'autre. Tirant de sa poche un paquet de Chocogrenouiiles, Pegasia le tendit spontanément à Dylan Londubat.
Le train s'ébranla, et quitta la gare sous un soleil éclatant. Le trajet s'annonçait bien :un ami avec qui parler inlassablement, les rayons de l'astre du jour qui jouaient sur les sièges, et, à Pré-au-Lard, Matthew les rejoindraient. Oui, vraiment, tout s'annonçait au mieux.

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